ces jeunes provenaient de familles où au moins l’un des parents souffrait d’insomnie ou avait souffert d’insomnie dans le passé. «Les enfants issus de ces familles courent eux-mêmes trois fois plus de risques de souffrir un jour d’insomnie»
> Nouvelles > >Les chercheurs ont recruté 242 jeunes de 12 à 18 ans ayant des problèmes de sommeil dont la gravité se situait en deçà des critères d’insomnie du DSM-5. Leur sommeil était perturbé au moins une fois par mois