Lisez un article sur la recherche du professeur Jean-Pierre Julien sur le site du Scientifique en chef du Québec:
Dans 98 % des cas de SLA, on retrouve des agrégats de protéines TDP-43 dans le cytoplasme – partie qui entoure le noyau – des cellules nerveuses. Ces agrégats sont à l’origine des pertes de fonctions avec le temps. Les chercheurs ont utilisé un virus pour faire entrer dans les cellules des mini-anticorps synthétisés qui dégradent la protéine. Résultats : les fonctions cognitives et motrices des souris se sont améliorées.
Ces recherches pourraient mener à des essais cliniques humains d’ici 2 à 3 ans, et offre un espoir de bloquer l’avancement de la maladie à la suite du diagnostic.
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